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 Priscilla Dawkins

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MessageSujet: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 16:42

PRESCILLA DAWKINS

« Il suffit d'y croire pour y arriver »
    who are you ?

    Bonjour à tous je suis Priscilla Dawkins . Lors du 14 ème jours du mois de mars de l'année 1987 , j'ai fait mon apparition dans ce petite monde, 24 bougies ont été soufflées depuis. Je viens de Manhattan et côté financer je suis plutôt riche... du moins dans ma tête, je le suis car je refuse d'admettre la vérité en face.... Présentement, je suis en couple mais à vrai dire, nous sommes sur le point de rompre.. J'ai été surpris lorsqu'une invitation Les améthystes s'est présenté à moi et j'ai immédiatement saisie l'opportunité.

    Le crédit ?Mallowz -LJ-
    Ta célébrité? Ashley Greene

ALICE
      Qui est réellement derrière l'écran ?

    ton âge : 25 ans
    Ta fréquence de connexion : (4 Jours/ 7 jours) voir plus
    L'endroit où tu nous as découvert : sur PRD
    Un exemple de rp ?:
    Spoiler:
    Autre chose à dire ? : Peace and love Ok


Dernière édition par Priscilla Dawkins le Mar 18 Jan - 11:30, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 16:43

Priscilla Dawkins 0002
MY LIFE

« Nous partons!! Pour la pays imaginaire! »

    Un des plus beaux quartiers de luxe de New York, au cœur de la ville et de ses rues bondées de fashionnistes en tout genre, d’hommes d’affaires à la recherche de la perle rare qui se vouera en quatre pour lui, à la femme belle et sensuelle, qui séduira le mari de votre meilleure amie. Sans oublier bien sûre le reste de la population qui aire dans ces rues en léchant les vitrines sans oser entrer dedans dès qu’elle aperçoit sur les étiquette des prix à trois voir quatre chiffres… Mais il y a aussi les jeunes, les adolescents, les étudiants, bref tout ce qui se situe sous la barre des vingt cinq ans et qui préfèrent se balader dans ces beaux quartiers à la recherche du dernier vêtement qui fera scandale le lendemain à la fac, que d’assister au cour super intéressant de cette vieille Madame Kalerski radotant sa passion pour l’esclavagisme. Quand à moi, Prescilla et bien je suis née dans ce monde de séries télé de l’Uper Up side, et j’ai grandis dedans jusqu’à mes 21 ans, c'est-à-dire il y a encore trois ans.

    Mon père, grand responsable d'une firme multinationale automobile et une de ses tête richissime que l’on voit dans les magazines d’économie et de voitures, possédait une fortune inestimable. Le succès de sa boite était phénoménale d’années en années d’après les dires de ma mère, qui fière de la réussite de son mari ne perdait jamais une miette de l’histoire de son ascension vers le luxe et cette vie qu’elle m’avait offerte, lors des brunchs et autres réunions en tout genre, où à chaque fois des dizaines et des dizaines de têtes inconnu souillaient le sol de notre appartement. A vrai dire, je n’en avais guère d’importance, car moi je restais toujours dans le coin est du salon, un verre de champagne à la main à assister de loin à toutes ses jérémiades et ses discours à dormir debout, avec ma meilleure amie, qui n’était qu’autre que la fille de la meilleure amie de ma mère. Et c’était surtout l’occasion de porter une nouvelle robe que mon père ne manquait pas de m’offrir à chaque « fiesta ». Mais à la longue, je commençais vraiment à m’ennuyer de toutes ses représentations pendant que Sophia, mon amie trainait avec sa bande de copains, ou plutôt de garçons tous issu de la meilleure université de la ville et bien entendu tous de bon parti. C’est pourquoi un soir, lors d’un repas familial intime que nous avions deux à trois fois par semaine seulement en raison des emplois du temps de mes parents, que je jetais cartes sur tables, qu’il était grand temps que je puisse grandir et enfin profiter des joies de l’adolescence. Ce qui arracha à mon père un rictus et un doux sourire à ma mère qui ne manqua pas de révéler qu’elle avait été comme moi à mon âge. Ce qui dans un sens me laissait une légère lueur d’espoir qui ne tarda pas à s’envoler lorsque mon pris la parole, d’un ton froid et sérieux.

    - Chez les Dawkins, les femmes de la famille ne courent pas dans les rues au bras de n’importe quel homme bon parti ou non. Tu es ma fille, et l’une de mes plus grande réussite de ma vie.
    Honores ton nom et ta famille, et fais bonne figure. Je ne pense pas te demander la lune.


    Les mains sous la table, la tête baissé, je me souviens ne pas avoir répondu ce soir là. Je me contentais de répéter ses mots dans ma tête, à essayer de déchiffrer comment il me voyait. Certes mon père était fier de moi, et il m’aimait. Oh oui il m’aimait et ne manquait pas de le faire savoir en me couvrant de cadeaux, d’argent et tout ce que je voulais mais j’aurais aimé passer plus de temps avec lui, histoire de discuter, de partager ma passion pour l’histoire et autres… Hélas, on ne peut pas tout avoir, mais je prie soin de lui obéir jusqu’à ma majorité, histoire de lui rendre ce qu’il m’offrait en quelque sorte.

    C’est ainsi que commença ma nouvelle vie. Je venais de souffler à peine mes vingt et une bougies et d’ores et déjà, je pris mon sac à main Vuitton et sautai dans le premier taxi pour me rendre dans la plus grande discothèque de la ville. Vêtue d’une robe moulante de couleur prune et dernier modèle de Christian Dior, dont le bustier serré mettait mes seins en valeur comme jamais, j’enflammais la piste de danse, et jouai avec le regard de plusieurs garçons qui me dévoraient des yeux. Je n’étais pas une allumeuse, non bien au contraire, mais pouvoir m’éclater enfin en boite et pouvoir draguer sans couvre feu était pour moi, le plus beau cadeau d’anniversaire que je n’avais jamais eu. Et ce soir là, j’en profitai jusqu’au bout de la nuit sans penser une seule seconde que ma vie allait complètement basculer et que tout ce monde dans lequel j’avais vécu allait bientôt devenir qu’un simple souvenir.
    Il était 9h00 tapante, que je franchis l’entrée, mes talons à la main, le pieds en feux d’avoir tellement dansé et je vis mes parents assis dans le canapé du salon, ma mère en pleure et mon père, le visage pâle et maladif. Je n’avais même pas sommeil, ni mal à la tête avec ton le champagne qui avait coulé à flot cette nuit là, non j’étais en forme étrangement mais vu l’ambiance qu’il y régnait, quelque chose me disait, que ma bonne humeur n’était que passagère.

    - Priscilla, nous devons déménager et quitter la ville.

    Surprise, sur le coup je pensais que nous partions pour Los Angeles, là ou mon père avait la pluparts de ses clients, mais lorsque j’entendis le sanglot de ma mère, je compris de suite que c’était loin d’être le cas.

    - Pourquoi ? Que se passe t-il ? avais-je demandé sur un innocent et curieux.

    Je le vis prendre une profonde inspiration, et se lever du canapé pour rejoindre la fenêtre les mains dans les poches.

    - Mon entreprise vient de couler, et la concurrence bien trop rude ne m’a donné aucune chance. Nous devons partir, et revendre cet appartement pour rembourser les dettes. Quand à toi…

    Je le regardais sans oser y croire, la bouche entrouverte, les yeux scandalisés, la respiration bien plus faible qu’à l’ordinaire.

    - Mais c’est im… balbutiais-je sans avoir le temps de finir ma phrase bien trop choquée.
    - Tu devras prendre ton envole. Nous ne pouvons pas t’emmener et cela me déchire le cœur. Il est temps pour toi de grandir, de prendre ton appartement. Je t’ai préparé une enveloppe avec une modique somme pour pouvoir t’installer et dés aujourd’hui tu pourras te servir de ton compte bancaire. Ta carte de crédit est posée sur ton lit.

    La suite ? Elle n’est pas difficile à deviner. Les larmes, les pleures, l’impression que le ciel vous tombe sur la tête et bien entendu le départ. Car mon père avait tout organisé. La vente de l’appartement qui dès le lendemain fut acheté par un homme politique, la vente des meubles en échange de bons d’avoir pour meubler leur futur loyer, mon propre appartement dans un quartier près de Centrale Park, la fermeture de leurs comptes dans diverses banques et magasins de la ville. Tout est allé si vite, que je ne me souviens même plus de leur départ. Je ne me souviens que d’une seule chose, l’étreinte de mon père qui m’avait serré si fort que je m’en étais presque étouffé. Et les larmes de ma mère, ainsi que sa bouche qui s’était écrasé sur mon front comme si c’était la dernière fois que je les voyais pour toujours. Quand à moi, j’étais resté de marbre, refoulant tout sentiment, pour ne pas craquer et leur prouver que je ne pouvais pas réussir. Car je savais au plus profond de moi, que je serais les rendre fier et qu’un jour ou l’autre, tout redeviendra comme avant.

    Mais les contes de fées n’existent pas, et ma fâcheuse tendance à rêver m’a vite fait comprendre que le monde est loin de ressembler à Fantasia. Trois ans plus tard, la réalité est toujours difficile à avaler. Gérer son appartement, ainsi que les dépenses qui s’accumulent sans compter que je suis impulsive et que j’achète tout ce qui me plait, n’est pas une chose facile. D’autant plus, que je n’arrive pas à garder un emploi fixe à cause de mon fichu caractère et cette tendance à préférer faire du lèche vitrine que d’arriver à l’heure. Et même si Damon, mon petit ami depuis maintenant deux ans est là pour me remettre sur le droit chemin, les choses s’enveniment encore plus car je refuse d’accepter d’être ce que je suis vraiment : pauvre. Pourtant avec lui, tout avait si bien commencé. On s’était rencontré lorsque je sortais de chez le coiffeur, un samedi après midi. Il m’avait bousculé et je m’étais rattrapé de justesse à son bras avant de tomber dans son regard bleu azure et de m’y perdre complètement. Ce fut un véritable coup de foudre, une aventure passionnée qui de fil en aiguille, nous amena à vivre ensemble dans mon appartement. Lui était ingénieur en informatique, récent diplômé qui venait de trouver un petit boulot à mi temps, le temps de trouver enfin une bonne place dans une grande société. Sa famille de rang assez aisé m’avait même adopté. C’est pour dire, que je venais toujours à leur repas, habillée avec mes plus beaux vêtements, me faisant passer pour une jeune femme de grande famille, animant les repas avec mes prouesses en histoire de divers pays, de grands rois et ma culture très développé. Mais je caché bien mon jeu sur ce que je laissais paraitre de ma personne et Damon m’avait comprise sur ce point. Il savait que j’étais profondément blessée et perturbée par ce changement de vie si violent. Enfin c’est ce que je croyais avant que nos disputes de plus en plus nombreuses, viennent mettre fin à notre couple il y a tous justes deux jours. Des querelles journalières sur ma vie caché, que je n’admets pas, que je n’ouvre pas les yeux sur le monde réel qui m’entoure, que je suis trop superficielle, que je veux toujours trop et que rien n’est jamais assez. Le pire étant… qu’il avait raison. Encore aujourd’hui, je perds mes boulots car je trouve que l’on ne me traite pas comme on le devrait, c'est-à-dire avec classe et respect. Je parcours encore les rues des quartiers riches et ne peux m’empêcher de revenir avec un vêtement alors que je n’ai presque plus d’argent pour finir le mois. Lorsqu’on me demande où je vis, je donne encore mon ancienne adresse, allant jusqu’à mentir sur mes parents. La vérité fait bien trop mal, et je ne veux pas me retrouver dans le noir, je préfère encore mentir, me croire aux pays des rêves plutôt que de sombrer dans cette vie que je déteste plus que tout.

    Pourtant aujourd’hui, je viens de sortir de mon premier jour dans cette grande boutique de luxe de prêt à porter, et je dois bien avouer que je me suis pas mal débrouillé même si me rabaisser à chaque fois que je dois servir une cliente me déplais, j’arrive à prendre sur moi et à garder le sourire. Bon, certes il est faux, car c’est un sourire purement commercial mais au moins, j’ai l’impression de faire du lèche vitrine et cela me permet de l’oublier lui, et de ne pas penser qu’à l’heure qu’il est, il doit déjà avoir récupéré toutes ses affaires et laisser les clés dans la boite au lettres. Soupirant profondément tout en traversant Central Park, je me dis que la vie est si injuste avec moi, que je me demande ce que j’ai fais de travers pour en arriver là.

    Les doigts sur le col de mon manteau, que je serrai pour ne pas sentir le vent s’engouffrer dans mon pull, j’avançais sur ce chemin qui longe le lac. Les premières feuilles d’arbres commençaient à tomber, marquant ainsi l’arrivée prochaine de l’hiver, et aussi les jours tristes et déprimants de pluie. Tournant la tête vers deux trois cygnes qui se laissaient glisser sur l’eau, je ne pu m’empêcher de repenser au jour où mon père m’avait amené ici pour mes dix ans. Si bien que je me renfermais sur moi-même en sentant ce moment de faiblesse refaire surface, alors je décidais de poursuivre mon chemin jusqu’à m’arrêter soudainement devant un arbre avec une étrange carte couleur or glissé dans une fente du tronc. Curieuse de nature, je m’approchais, observant autour de moi pour voir si ce n’était pas une farce ou autres jeux d’enfants. Mais je ne remarquais rien d’anormal, pas même ce vieil homme assis sur le banc à moitié endormi. Je pris donc la carte entre mes mains et la dépliai intriguée par ce qu’elle pouvait contenir. Mes yeux s’écarquillèrent tout seuls, tout comme ma bouche tout en parcourant les quelques lignes inscrites. Le chiffre poursuivit de nombreux zéro me laissèrent sans voix mais surtout ils me donnèrent envie. C’était un concours, une sorte de jeu dont le but était de réussir à vivre dans une ville abandonnée où je ne sais quoi. Cette ville dont j’avais déjà entendu le nom dans un livre, bref une ville qui ne m’était pas inconnue. Si bien qu’après avoir relu les lignes écrite à l’encre noir, je ne mis pas longtemps à réfléchir pour prendre une décision. Je n’avais plus rien à perdre, sauf peut être ce nouvel emploi mais comparé à un millions de dollars… J’étais décidé ! Je rangeais la carte précieusement dans mon sac et pris le chemin de retour plus rapidement, limite en courant. Une fois à l’intérieur de mon appartement, je fonçais dans ma chambre sans me préoccuper du vide qu’avaient laissé ses affaires. Je pris ma valise que je balançais sur mon lit et y fourrai le plus de vêtement possible. Sans oublier mon mp3, des magazines et le peu d’économie qu’il me restait , mes produits de beauté et tout ce qui me paraissait nécessaire. Je bouclais ma valise rapidement, remplis au taquet et j’attrapais rapidement mon sac à main tout en vérifiant que j’avais tout mes papiers sur moi ainsi que mon portefeuille. Une fois prête mentalement et sur le plan matériel, je fonçai vers la gare m’arrêtant à une borne pour prendre mon billet. Une fois en main après avoir payé, je parcouru rapidement la gare à la recherche de mon train et pris place près de la fenêtre. J’otais mon manteau que je posais sur mes genoux, et regardais le siège droit devant moi me perdant dans mes pensées. Comment avais je pu tout quitter si soudainement sans même avertir mes parents, pour partir à l’aventure sans rien, ni sans savoir comment cela va se passer ? Et que m’attendait-il là bas ? Pourquoi cette invitation était là, sur ma route, peut être qu’elle ne m’était pas adressé et que j’ai pris la place d’une pauvre personne qui à cette heure ci doit chercher son invitation dans le moindre recoin du parc… Et si c’était simplement un coup de pouce du destin ? Et si pour une fois dans ma vie, j’allais enfin trouver le bonheur ? Et si, et si, et si … Tant de questions qui se chamboulaient dans ma tête et qui peut être allé avoir une réponse, une fois arrivé dans cette ville, car le train venait de démarrer et je ne pouvais plus reculer.

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Dernière édition par Priscilla Dawkins le Mar 18 Jan - 13:18, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 16:45

Bienvenue !
Bon courage pour faire ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas Wink
&& Merci de t'être inscrit sur Rhyolite !
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 16:50

Merci ^^
Et je n'hésiterais pas si j'en ai. Je vais me mettre au boulot pour ma fiche rapidement.
En tout cas, coup de coeur pour le contexte et mon perso Smile
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 16:52

Je suis heureuse que le contexte & le perso. te plaise, tu as prit un de mes préférés d'ailleurs ♥
&& ton avatars est génial ♥
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 16:56

Alors j'espère vraiment être à la hauteur de ce que tu attends ^^
Merci ^^
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeLun 17 Jan - 17:48

Je suis certaine que tu sera à la hauteur Smile
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeMar 18 Jan - 11:16

A toi de me dire alors ^^ je crois avoir finis Very Happy
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeMar 18 Jan - 11:31

J'adore ta présentation && la façon dont tu écrit ♥️ Tu as parfaitement bien saisie le personnage Smile

Par contre avant de te valider, il manque le code de règlement (Et oui surprise haha) Une fois que ce sera fait je pourrais t'ajouter à ton groupe && tu pourra commencer à faire tes fiches Smile
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeMar 18 Jan - 11:33

ohhhh *.* merci du compliment ^^

je l'ai mis à l'instant j'avais oublié de le mettre XD
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeMar 18 Jan - 11:39

Je te valide
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitimeMar 18 Jan - 11:44

géniale ^^
merciiii <3
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MessageSujet: Re: Priscilla Dawkins   Priscilla Dawkins Icon_minitime

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